IV. 1 Nous allons a l'ecole.
2 Il y a beaucoup de fleurs dans la classe.
3 Les enfants font du ski et patinent en hiver.
4 Je met mes bottes, il pleut.
5 Remi met ses livres dans son cartable.
V. 1 Je telephone a mes amis.
2 Nous habitons ce quartier.
3 Elle habite a Marseille.
4 Ils aiment leur soeur.
5 Tu regardes la tele et ton frere ecoute la radio.
6 Jacque parle a son frere.
7 Ils travaillent a la fabrique.
8 Marthe et Adele regardent la tele.
9 Denise et Gerard ecoutent la musique.
10 Mes amis aiment la musique moderne.
VI. 1 c
2 b
3 c
4 a
5 c
6 b
7 b
8 b
У меня получилось так:
1) car… –так как (Так как я
прочитал текст "Куку-ла-пралине",
я могу теперь объяснить какого типа девушки была главная героиня.)
2)…ce n'est pas parce que …, mais ….c'est pour ça que… (это не
потому что…, но… это потому что..)(Когда она была маленькой, она часто плакала:
это не потому что она была голодна, но это потому что ее родители ей одевали
пижаму или платье, которые ей не нравились.)
3) comme..-так как (Так как
шляпки, банты и ленты были ее любимыми игрушками, мы назвали ее Куку-ла-пралине.)
4) …parce que… – потому что.. (Она мечтала о загадочных и оригинальных платьях, потому что
она любила просматривать журналы мод.)
5)…puisque... – так как… (В 6 лет Софи
сотворила коллекцию несовместимых носков, так как никогда не одевала двух одинаковых носков.)
6) ….c'est pour ça que…- …это поэтому<span> … </span>(В гардеробе у Софи
не было голубых джинсов и футболок, это поэтому дети из ее класса находили ее
странной.)
7) …car …- …так как…(Ее родители,
напротив, позволяли ей одевать одежду, которая ей нравилась, так как Софи была
их единственной и обожаемой дочерью.)
8. a) mettez les verbes entre parenthèses au passé composé et à l’imparfait.
Nous étions si petites, ma sœur jumelle et moi, qu’il nous fallait nous hisser en nous accrochant aux barreaux du banc du jardin pour monter dessus. Nous basculions. Cela ne nous empêchait pas de recommencer. Je nous revois tenant au grillage du jardin. Nous hurlions papa, lorsqu’il passait avec ses collègues. Je me rappelle de mon désespoir quand il ne se retournait pas. Lorsque nous arrivions à Nîmes, ma mère nous a fait faire le tour du propriétaire. Nous avions un an et demi. Il y avait une terrasse sur le toit. Et une échelle pour y accéder. J’étais la première en haut, je trouvais un Pierrot en chiffon au fond de la terrasse. Très vite, il est devenu le grand amour des filles de la maison. Ma sœur l’adorait en secret pendant de longues années. Durant ma jeunesse, mon idole était toujours ma mère. A l’école, je ne pouvais pas m’empêcher de la comparer aux mères de mes copines. Maman devait être la plus belle, sinon j’étais triste. Heureusement, elle n’avait que peu de rivales.
Je me serrais souvent contre ma mère sur le banc pendant qu’elle et mon père buvaient du café dans de petites tasses en porcelaine de chine. Ils remémoraient des souvenirs de jeunesse. Comme moi aujourd’hui.
Je mange le gateau au chocolat